
Les chutes grondent, éternelles et puissantes,
Un chant d'eau vive, des voix vibrantes,
Dans leur élan, la terre se brise,
Et l'âme s'élève, en quête de surprises.
Rochers rouges, par le temps sculptés,
Se dressent fièrement, par l’eau caressés,
La mousse et le vert enlacent ces géants,
Comme un tapis offert aux éléments.
Le fleuve danse, en éclats d’argent,
Sous le ciel clair, sous le firmament,
Et la brume douce, étreinte subtile,
Berce la forêt d'un murmure fragile.
Ô chutes sauvages, temples de l’infini,
Vous portez l’écho de l’éternel esprit,
Ici, l’homme se tait, le souffle suspendu,
Devant la nature, reine absolue.
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